Chanson française en Sorbonne, avec Marie-Thérèse Orain, François Corbier et Patrice Mercier
CHANSON FRANÇAISE EN SORBONNE
Mardi 24 octobre 2017, à 20 heures
La Sorbonne, amphithéâtre Richelieu (17, rue de la Sorbonne 75005 Paris)
Entrée libre sur réservation obligatoire, exclusivement sur ce lien, et au plus tard lundi 23 octobre :
Marie-Thérèse ORAIN
Comme un papillon libre et passionné, Marie-Thérèse Orain a parcouru les sentiers buissonniers de la scène vivante, celle où on paye cash tous les soirs sa vie d’artiste, et c’est cette potion de jouvence qui a gardé intact son amour pour le spectacle… Très peu de comédiennes-interprètes ont porté la parole des chansons à un tel niveau. Jacques Debronckart lui avait confié des chansons inédites. Elle les chante à nouveau ainsi que d’autres chansons et des créations, les joue avec cette virtuosité expressive dont elle a le secret : elle vous emmène dans le burlesque ou le tragique, dans une commedia dell’arte flamboyante, peuplée de personnages bariolés qu’elle fait vivre pour le bonheur du public le temps d’une chanson (Norbert Gabriel).
« Après ma méditation quotidienne sur le rocher des proscrits, je me suis penché sur l’œuvre foisonnante de François Corbier. Quel dommage que le lecteur de CD n’ait pas encore été inventé. J’eusse pu me faire une meilleure idée de la qualité de son répertoire ! Mais, comme ça, au jugé, en regardant la pochette du CD, ça m’a semblé tout à fait convainquant ! Je ne saurai donc mieux faire que vous conseiller d’aller écouter cette personne dont j’ignore tout sinon qu’il est barbu, ce qui est déjà un excellent présage ». Victor Hugo, Jersey, 32 août 1852.
Patrice MERCIER : Un air connu avec Clémence Monnier au piano
Une Goguette, c’est ? C’est simple…vous prenez une chanson connue…vous enlevez les paroles…vous les remplacez par les vôtres, sur un sujet d’actualité…et vous la chantez ! « Patrice Mercier chante notre temps avec humour, et toujours beaucoup de finesse et de pertinence » (Julie Biet, Télérama Sortir). « Patrice Mercier fait de ses « timbres » une invitation à rire du monde et de la société tout en les gardant en haute considération, en citoyen concerné mais pas dupe. » (David Desreumaux, Hexagone).
Organisation : Matthias Vincenot, avec l’association « Poésie et Chanson Sorbonne », et le soutien de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV) et de son service culturel.